Mère Nature se venge du capitalisme, et en particulier des plateformes pétrolières, en envoyant El demonio negro rendre justice à ce que l'homme est en train de détruire. L'idée semble bonne, mais au fur et à mesure que le film avance, il devient évident que le coupable n'a pas reçu assez de leçons dans la remise en question naïve d'un enfant de 4 ans pour atteindre un final de sauveur blanc à la con. Pas assez de sang, pas assez de garçon riche qui se fait manger et surtout pas assez de requin. En plus, vous m'avez menti : le monstre n'est pas noir, mais bleu ?